Annonce de parution: revue Communication, numéro 28

L’équipe du GRAL est heureuse de vous annoncer la parution du numéro 28 de la revue Communication.

Le volume 28/1 propose, entre autres textes, des articles sur le
journalisme et les discours de presse, le marketing, les pratiques
managériales et l¹entretien collectif.

Le volume 28/2 propose des articles sur les délibérations publiques,
l¹identité, la féminisation du journalisme, la communication
organisationnelle, les jeux vidéos et l’Internet.

La revue prépare actuellement deux numéros thématiques : le premier veut
souligner le centenaire du journal d¹élite québécois Le Devoir et le second
proposera une réflexion collective sur « Communication, médias, et santé ».

Parution du dernier numéro (n° 16) de la Revue A contrario : « L’argumentation au carrefour des disciplines »

L’équipe du GRAL est heureuse d’annoncer la parution du dernier numéro de la Revue A contrario (n° 16, 2011/2, 180 pages). Cette livraison est consacrée à « L’argumentation au carrefour des disciplines : sciences du langage et sciences sociales ».

Avant-propos
Page 3 à 9
L’argumentation au carrefour des disciplines : sciences du langage et sciences sociales

Page 10 à 25
Ruth Amossy : Des sciences du langage aux sciences sociales : l’argumentation dans le discours

Page 26 à 40
Emmanuelle Danblon : La rhétorique : à la recherche d’un paradigme perdu

Page 41 à 62
Thierry Herman : Le courant du Critical Thinking et l’évidence des normes : réflexions pour une analyse critique de l’argumentation

Page 63 à 87
Marianne Doury et Catherine Kerbrat-Orecchioni : La place de l’accord dans l’argumentation polémique : le cas du débat Sarkozy/Royal (2007)

Page 88 à 109
Jérôme Jacquin : Localiser, décrire et faire voir le fait argumentatif : le modèle dialogal de l’argumentation au défi d’un corpus complexe

Page 110 à 130
Christian Plantin : Analogie et métaphore argumentatives

Page 131 à 150
Francis Chateauraynaud : Sociologie argumentative et dynamique des controverses : l’exemple de l’argument climatique dans la relance de l’énergie nucléaire en Europe

Page 151 à 173
Juliette Rennes : Les formes de la contestation. Sociologie des mobilisations et théories de l’argumentation

Url de référence : http://www.cairn.info/revue-a-contrario-2011-2.htm

Le GRAL compte un nouveau Docteur

Les membres du GRAL ont le plaisir d’annoncer l’obtention par Loïc NICOLAS du grade de Docteur en Langues et Lettres de l’Université Libre de Bruxelles. Loïc NICOLAS (membre du GRAL, Aspirant du FNRS) a défendu ce vendredi 13 mai une dissertation originale intitulée La rhétorique et sa critique. À la rencontre du discours et de la liberté. Cette thèse a été dirigée par Emmanuelle DANBLON. Le jury était composé de :

– Marc ANGENOT (Université McGill)

– Emmanuelle DANBLON (ULB, promoteur)

– Marc DOMINICY (ULB, secrétaire)

– Francis GOYET (Université de Grenoble)

– Guy HAARSCHER (ULB)

– Christelle REGGIANI (Université de Lille 3)

La soutenance, a été présidée par Dan VAN RAEMDONCK (ULB), Directeur du Département de Langues et Littératures.

Appel à communications: Rhétorique et Traduction

Organisé par

 

SEPTET, Société d’Etudes des Pratiques et Théories en Traduction

et

LLL, Laboratoire Ligérien de Linguistique

de l’université d’Orléans

 

 

en collaboration avec

 

 l’HTLF, l’’Histoire des traductions en langue française de Paris-Sorbonne

 

Université d’Orléans

Jeudi 26 et vendredi 27 janvier 2012

5, rue du Carbonne (Bâtiment IRD)

45000 Orléans

 

 

Comité organisateur 

Pierre Cadiot (Université d’Orléans)

Florence Lautel-Ribstein (Université d’Artois)

Antonia Cristinoi (Université d’Orléans)

Gabriel Bergounioux (Université d’Orléans) 

 

 

Pour les Latins, le terme Traductio désignait une figure de rhétorique. On mesure ainsi la pertinence d’une rencontre portant sur les liens entre traduction et rhétorique. Aujourd’hui, la rhétorique, tout comme la traduction, rapproche des champs disciplinaires variés : linguistique, littérature, anthropologie culturelle, philosophie du langage, etc.

Les différents axes de travail suivants pourront être explorés :

 

1. La traduction à l’aune des conceptions de la rhétorique

 

  • La rhétorique peut-elle être encore aujourd’hui conçue comme un ajout, un supplément d’âme et de présentation, voire un masque (plutôt qu’un visage) ? Autrement dit, la rhétorique cessant progressivement de se confondre comme dans l’Antiquité gréco-romaine avec l’art de dire, mais aussi de penser, peut-elle être confondue avec un ensemble de procédés, qui sans être strictement ornementaux, l’engagent néanmoins dans le sens d’une esthétique seconde, comme c’est le cas chez un Fontanier par exemple ? Le traducteur doit-il alors considérer qu’un « contenu » invariant est ainsi masqué ? Par voie de conséquence, la rhétorique peut-elle se confondre avec un aspect de l’art du traducteur qui serait de faciliter (mais aussi éventuellement d’agrémenter) la lecture ? Les dimensions clairement « rhétoriques » du texte-source (par exemple les questions précisément dites « rhétoriques », liées à la seule gestation du texte) doivent-elles être gommées dans le travail du traducteur ?

 

  • La rhétorique du traducteur a-t-elle une dimension « critique » ? Est-elle censée véhiculer (aussi) le point de vue singulier du traducteur ? Quelle est la part de la rhétorique dans le fait qu’historiquement les traductions ont si souvent fait l’objet d’adaptations marquées par la censure, l’idéologie, la volonté pédagogique, etc ? Quels sont les liens avec l’argumentation ? Le texte, la « lettre », doivent-ils dans l’acte de traduire s’effacer derrière des intentions, représentationnelles, polémiques et autres ? La rhétorique est-elle une « technique » ou un art « tactique » ? Le traducteur doit-il être rusé ?

 

  • Doit-on à rebours s’attacher à relever, comme le fait Dumarsais, des liens étroits entre grammaire et rhétorique (nonobstant le trivium médiéval) ? La rhétorique, au contraire de l’idée commune, plonge-t-elle ses racines au cœur même de la langue ? Quelles seraient les conséquences d’une réponse positive pour la traduction ?

 

 

2. La traduction entre champs rhétorique, poétique et émotionnel

 

  • Quels sont les liens entre rhétorique en tant que visée d’action, proche de la pragmatique moderne et poétique en tant qu’imitation d’action (mimesis) ? La traduction doit-elle être conçue comme une action, rendre le texte-source toujours plus efficace, ou doit-elle déployer et explorer les sources de sa propre poéticité ?

 

  • La rhétorique est-elle délibérément « cibliste » ? Est-elle idiosyncrasique, un art différent dans chaque langue particulière… ou relève-t-elle au contraire de techniques tendanciellement universelles ?

 

  • La distinction entre rhétorique et poétique ne serait-elle pas une conséquence d’une vision réductrice de ce qu’était la rhétorique des origines, celle d’Aristote, comme semblent l’attester certaines des plus récentes traductions de son texte fondateur et qui montrent l’indissociabilité non seulement des propriétés sémantiques et esthétiques du langage, mais aussi de ses propriétés esthétiques et poétiques ?

 

  • On peut s’interroger sur le statut, instable et évolutif, de l’émotion lorsqu’elle est amenée à s’inscrire dans le champ rhétorique, que ce soit comme objet de représentation (rhétorique des passions) ou comme mode d’élocution visant à des effets perlocutoires. Qu’à l’occasion d’un événement émotionnel, on convoque le concept de thymie en sémiotique ou tout autre concept affine, comment cette « subconscience » où se déploient les instances affectivo-émotives est-elle saisie dans l’acte traductif ?

 

 

3. Rhétorique et traduction dans leurs dimensions philosophiques et sémiologiques

 

 

On pourra d’une part s’interroger sur les points suivants :

 

  • La rhétorique ne serait-elle pas au fond de nature philosophique ? Peut-on y voir l’art même de former des concepts en les délivrant ?

 

  • La rhétorique se confond-elle avec la pragmatique moderne (wittgensteinienne, austinienne, etc) ?

 

D’autre part, il conviendra de se poser la question

 

  • des liens que la rhétorique noue avec la sémiologie et/ou la sémantique discursive et textuelle. Comment la traduction doit-elle prendre en compte des effets comme l’idiomaticité, le cliché, le stéréotype, l’emblème, les « métaphores conceptuelles », etc ? Les questions évidemment décisives de l’analogie, de la polysémie, de l’implicite, de l’inférence, comme mécanismes de production des textes sont-elles rhétoriques et relèvent-elles à ce titre d’un chapitre autonome de l’art du bien traduire ? …

 

  • des liens entre rhétorique, traduction et  phénoménologie : le « contenu » peut-il être distingué de son apparaître, de ses modalités de donation ? L’essence figurale du langage renvoie-t-elle à l’expérience immédiate, au « corps vécu » ? La traduction est sans arrêt confrontée à cette alternance de présentation (figurale, motivée, phénoménologique) et la gestation de contenus de représentation. Tout accès au réel est partiel, de l’ordre de l’esquisse, mais il s’impose avec la force du tout : ce que la tradition figure en termes – trop analytiques – de métaphore, métonymie, synecdoque, etc. renvoie à cette réalité en quelque sorte anthropologique, mais très différemment d’une langue à l’autre. Comment la traduction doit-elle affronter ce problème ?

 

 

 

Calendrier 

 

15 juin 2011 : envoi d’un résumé de deux pages environ et d’une courte bio-bibliographie à Florence Lautel-Ribstein : <florence.lautel@univ-artois.fr>

30 juin 2011 : notification de la décision du Comité scientifique

1 mars 2012 : envoi des articles (max. 45,000 caractères espaces compris) à Camille Fort

 <camillefort@yahoo.fr>

Les textes des communications seront publiés dans la revue SEPTET, Des mots aux actes (ou le cas échéant soumis à la Revue de Sémantique et Pragmatique)

 

 

Comité scientifique 

 

 

Antonia Cristinoi (Université d’Orléans)

Annie Cointre (Université de Metz)

Véronique Duché (Université de Melbourne)

Camille Fort (Université de Picardie)

Jean-René Ladmiral (Université de Paris Ouest-Nanterre et ISIT)

Michèle Lorgnet (Université de Bologne)

Jean-Yves Masson (Université de Paris-Sorbonne)

François Nemo (Université d’Orléans)

Yen-Mai Tran-Gervat (Université de Paris Sorbonne Nouvelle)

Soirée cinéma roumain à l’ULB vendredi 1er avril à 18h30.

La projection aura lieu à l’Université Libre de Bruxelles

Campus du Solbosch – Bâtiment A (entrée par l’Av. Antoine Depage)

Auditoire: AZ1.101 (Porte Z)

Faculté de Philosophie et Lettres

Av. Franklin Roosevelt 50

(Square Jean Servais)
1050 Bruxelles

http://www.ulb.ac.be/campus/solbosch/plan.html

Veuillez confirmer votre participation à l’adresse électronique suivante :

secretariat@roumanieamb.be

Voir l’invitation

Voir l’affiche

Atelier d’argumentation, jeudi 3 février 2011

La prochaine séance de l’atelier d’argumentation, organisé par Marianne Doury, se tiendra le jeudi 3 février 2011, autour de deux intervenants:

Emmanuelle Danblon (ULB), « La rhétorique : à la recherche d’un paradigme perdu »
Rubens Damasceno Morais (ICAR / Université Lumière-Lyon 2), « Le violeur violé : trois minutes d’interaction argumentative autour d’un sujet difficile »

Ces deux séances auront lieu, comme d’habitude, de 14h à 17 h, au 20 rue Berbier du Mets (Paris 13e), Métro Gobelins, ligne 7.

Present Tense: A Journal of Rhetoric in Society

Present Tense, a new journal in rhetorical studies

Present Tense: A Journal of Rhetoric in Society is a peer-reviewed, blind-refereed, online journal dedicated to exploring contemporary social, cultural, political and economic issues through a rhetorical lens. In addition to examining these subjects as found in written, oral and visual texts, we wish to provide a forum for calls to action in academia, education and national policy. Seeking to address current or presently unfolding issues, we publish short articles of no more than 2,000 words, the length of a conference paper.

http://www.presenttensejournal.org 

Conference presentations on topics related to the journal’s focus lend themselves particularly well to this publishing format. Authors who address the most current issues may find a lengthy submission and application process disadvantageous. We seek to overcome this issue through our shortened response time and by publishing individual articles as they are accepted. We also encourage conference-length multimedia submissions such as short documentaries, flash videos, slidecasts and podcasts.

In order to foster dialogue, our journal features a Reader Response section in which both contributors and readers are welcome to discuss the publications’ content in a public, digital space.

Sample Submission Topics:

Present Tense is interested in submissions dealing with theory, criticism, production, pedagogy and empirical research.

* Social justice issues involving language, power, and the body: How do institutional rhetorics shape economic policy, the treatment of bodies, and the architecture of resistance movements? How do displaced peoples and refugees use rhetorical resources? How do institutions exercise power? How do sovereign powers operate in the midst of institutional and control societies?

* Minority issues and minority rhetorics: How has Obama’s presidency affected our notions of racism? How has the immigration debate changed in the last decade? How are people of color and queer people portrayed by the media? How do we negotiate the needs of women of color with those of feminism?

* Green Rhetoric: How is rhetoric being used within and against environmental movements? How is the green movement being portrayed by the media, pop culture, corporations and the government? How does the language used to frame environmental issues on either side have an effect on personal choices?

* Rhetoric in national and international politics: How are attitudes about domestic and foreign policies formed by various media outlets? How do technologies shape our dialogue about foreign and domestic issues? How do public speeches by prominent political figures seek to shape the ethos of the individual, organization, and/or country they represent?

* Popular culture and media analysis: How do rhetorical concepts help us better understand today’s media and pop culture? How do networking sites affect the way in which humans relate to one another? How are sites like YouTube, Wikipedia and Creative Commons changing creative agency as well as the way we share knowledge in our culture?

* Rhetorics of Everyday Life and Technology: How might different understandings of everyday things change our lives? How do the things which make up our everyday world help shape our work, leisure time, social lives, emotions and/or mobilities? What technologies mediate these interactions and how do their rhetorical features affect our respective communities?

* Non-Western Rhetorics: How do rhetorical practices in non-Western contexts intersect with issues of education, justice, and power in those communities and cultures? How are discursive practices used to negotiate difference and conflict throughout the world? How do non-Western discursive practices challenge or broaden traditional Western rhetorical concepts and categories?

* Public Rhetorics and Rhetoric in Action: How is the field of rhetoric uniquely positioned to help us understand and engage the public? How can issues of community-based research and service learning be informed by rhetorical theory? How can historical, hermeneutic, and empirical research be used to study and encourage public participation?

* Rhetoric, Teaching, and Literacy: How are new composing practices shaping our approaches to writing instruction? What emergent language paradigms affect how we compose, argue, and design? How are new discourse technologies and composing contexts mediating what it means to be a rhetor in the 21st century?

For questions or submissions, please respond to:

editors@presenttensejournal.org

Ehren Helmut Pflugfelder
PhD Student / Graduate TA
Introductory Composition Technology Mentor
Technical Editor, Present Tense Journal
Dept. of English / Rhetoric and Composition Program
Heavilon Hall #331E
Purdue University
West Lafayette, IN 47907

http://web.ics.purdue.edu/~epflugfe/
http://kinesis.tumblr.com/

Colloque : « L’idée de littérature dans l’enseignement (1860-1940). » / Paris, 18-20 mars 2010

Colloque
L’idée de littérature dans l’enseignement (1860-1940)
18, 19 et 20 mars 2010

Ce colloque, organisé par Martine Jey, dans le cadre du projet ANR, Histoire des Idées de littérature, dirigé par Didier Alexandre (Paris Sorbonne – Paris IV) et Michel Murat (Paris Sorbonne – Paris IV) se tiendra les 18, 19 mars à l’IUFM de Paris, 10 rue Molitor, et le 20 mars à la Maison de la recherche, 28 rue Serpente, Paris 6è.

Contact : martine.jey@paris.iufm.fr

Jeudi matin 18 mars (Molitor, amphi 2)

• 9h 30 Accueil
• Présentation du colloque
Didier Alexandre (Paris IV) et Martine Jey (IUFM – Paris IV)

Sous la présidence de Didier Alexandre

• Enseignement/littérature : allers et retours
Martine Jey (IUFM – Paris IV)

La fin de la rhétorique ?

• 10h20 : « L’image, le modèle, l’ornement : l’enseignement de la littérature au péril de la rhétorique (1880-1910) », Loïc Nicolas (ULB/Gral ; EHESS/GSPM)

Discussion/ pause

• 11h 30 : « Lanson rhétoricien », Florian Pennanech (Univ. Le Havre)

• 12h00 : «  »Style et « sens littéraire », le théorème laïc de Gustave Lanson », Eric Bordas (ENS-Lyon)

Jeudi après midi (Molitor)

Sous la présidence de Michel Murat

La littérature au service de la laïque

• 14h30 : « Pensées morales et littérature : les prosateurs grecs de l’Empire romain à l’heure de la laïcité », Florence Bourbon (IUFM-Paris IV)

• 15h00 : « Des textes sacrés aux classiques ou comment la littérature entra à la communale », Anne-Marie Chartier (SHE/ ENS)

Discussion/Pause

• 16h00 : « La centralité de la catégorie de littérature dans l’anglais universitaire à la Sorbonne (1900-1940) », Marie-Pierre Pouly (IEP/ Toulouse)

Vendredi matin 19 mars (Molitor)

Sous la présidence d’Eric Bordas

Modèles et contre-modèles : des genres, des auteurs, des siècles

• 9h30 : « L’enseignement de la poésie latine : un exemple, les Bucoliques de Virgile », Monique Bouquet (Univ. Rennes 2)

• 10h00 : « Une histoire nationale de la poésie », Michel Murat (Paris IV)

Discussion/pause

. 11h00 : « Le XVIIIe siècle, siècle littéraire ? », Laetitia Perret (IUFM-Univ. Poitiers)

• 11h30 : « Le drame romantique, un contre-modèle », Florence Naugrette (Univ. de Rouen)

Vendredi après-midi (Molitor)

Sous la présidence de Monique Bouquet
Formation des écrivains : l’effet retour

• 14h30 : « La formation des écrivains par la version latine », André Chervel (SHE/ENS)

• 15h00 : « La rhétorique des styles, signe du littéraire : de l’exercice à l’œuvre (chez Péguy et Suarès) », Pauline Bruley (Univ. Angers)

Discussion/Pause

• 16h00 : « « Erutarettil ! » », Marianne Berissi (IUFM-Univ. Aix)

. 16h30 : « Apprendre à décrire ou la généalogie d’un genre, le roman de pays dans l’entre-deux-guerres », Elizabeth Souny (Paris-IV)

Samedi matin 20 mars (Maison de la recherche, salle 223)

Sous la présidence de Florence Naugrette

Modèles et contre-modèles : des genres, des auteurs

• 10h00 : « Boileau et l’idée de littérature dans l’enseignement (1880-1909) », Ouarda Hamadouche (Metz, Paris IV)

• 10h30 : « Corneille, le Cid et L’Espagne dans l’histoire littéraire aux alentours de 1900 », Catherine Dumas (Univ. Lille 3)

Discussion/Pause

• 11h30 « Stendhal au lycée de 1880 à 1925 », Xavier Bourdenet (IUFM-Paris IV)

• 12h00 : « Les genres littéraires dans l’enseignement secondaire (1880-1940) : de nouveaux paradigmes disciplinaires », Nathalie Denizot Théodile-CIREL (Lille 3)

• 13h Clôture.

Call for papers : « Rhetoric in Society III » – 26-28 Janvier 2001 / Anvers (Belgique)

Call for papers

Rhetoric in Society III

January 26 – 28 2011

Department of Applied Language Studies
Lessius University College
Antwerpen – Belgium

Keynote Speakers:

Gunther Kress
Christopher W. Tindale
Jef Verschueren

Rethinking rhetoric

Since Aristotle, the study of rhetoric has focused on the persuasive aspect of discourse in the political, forensic, and ceremonial domains. Rhetoric deals with doxa, the shared opinions and reasons people consider plausible and acceptable in a specific situation. It involves decisions taken by participants in public discourse on the basis of common deliberation and free choice in domains in which there can be no absolute truth, e.g. as in social and political life. Nowadays, we have come to realize the importance of rhetoric in all forms of discourse. There is no communication without some form of rhetoric.

Rhetoricians examine how people use arguments and language in order to convince or persuade an audience. But there is a lot more to rhetoric than that. It comprises more than sets of advice; in fact it is an art. It is the art of discovering what is persuasive in a given situation. This inventiveness points to how rhetoric has a heuristic function as well. It appeals to our creativity in our search for relevant questions and answers to specific matters. And as our discourse and arguments develop in interaction with other discourses (Voloshinov / Bakhtin), the hermeneutic aspect of rhetoric should not be overlooked. There is no rhetoric without analysis, interpretation and theoretical reflection. The art of speaking and writing « well » can be considered a cornerstone of our cultures and our educational systems.

Interdisciplinary research

The conference Rhetoric in Society aims to present and discuss different approaches to rhetoric. It will address this basic question: in what ways can the study of rhetoric function and provide an insight into our postmodern world? Consequently, what can it claim about discourse in the public domain, how is it related to empirical sciences, what can it say about the ever increasing amount of information and opinion that pervades our lives? Conversely, it can also be asked in what way actual language and communication theories and disciplines draw on ancient rhetoric.

Contributions to the conference will cover a wide range of both themes and theories. They will cover a broad spectrum of academic fields and thus favour interdisciplinary research not only within the fields of rhetoric, rhetorical criticism, rhetorical citizenship, argumentation studies, pragmatics, critical discourse studies, text linguistics, art and literature, but also the fields of communication studies, journalism studies, political, social and educational studies, history and philosophy.

We welcome papers or panel proposals on the role of rhetoric and argumentation in written and oral discourse and genres, on topics such as: public deliberation, controversies, legal decision-making, spin, hyphenated writing, social change, political campaigning, social movements, public relations, publicity, advertising, management, corporate internal communication, art and literature, visual rhetoric and public media discourse.

The core themes of the conference are:

– Rhetoric in journalism and new media
– Rhetoric in political discourse
– Rhetoric in organizational discourse
– Rhetoric in legal discourse
– Rhetoric in education
– Rhetoric in visual communication
– Theoretical, historical and (inter)cultural perspectives on rhetoric.

Abstracts

* Please send your abstract of max. 300 words edited in MS Word to RIS3@lessius. eu.
* The abstract should include a title, a research question, an indication of the theoretical framework, at least three bibliographical references, methodology, results and conclusion. The academic committee will review the abstracts (blind reviewing).
* Deadline for abstracts is June 30thth 2010, 12 a.m. Central European time.
* All contributions should be presented in English only.
* Please mention in your abstract the conference theme(s) within which you wish to present your paper.
* Please put your name in the subject of your mail, and your further references in the mail message (affiliation, university or institution, e-mail, phone number, most important publications on the topic if possible, and the title of your paper).
* Notification of acceptance will be sent before September 15th 2010.

Proceedings

Proceedings will be published digitally after the conference on the conference website. A selection of the proceedings will be published in book form. Your paper should be submitted by April 1st, 2011 at the latest.

Academic Committee

Paul Gillaerts (Lessius – Department of Applied Language Studies)
Baldwin Van Gorp (Lessius / K. U. Leuven – Centre for Media Culture and Communication Technology)
Dorien Van de Mieroop (Lessius – Department of Applied Language Studies)
Michael Opgenhaffen (Lessius – Department of Applied Language Studies)
Bart Philipsen (K. U. Leuven – Department of Literary Studies)
Kris Rutten (Ghent University – Department of Educational Studies)
Chair : Hilde Van Belle (Lessius – Department of Applied Language Studies)

This is the third edition of ‘Rhetoric in Society’. The first edition of the conference was organized by Aalborg University (Denmark) in November 2006, the second by the Speech Communication Department and the Department for Journalism and New Media of the Humanities Faculty of Leiden University. The conference is also associated with the researchers’ network ‘Rhetorical citizenship: Perspectives on Deliberative democracy’, based at the Department of Media, Cognition and Communication, Department of Rhetoric at the University of Copenhagen. We hope this conference at the Lessius Department of Applied Languages in Antwerp will be just as successful as the previous ones. http://www.lessius. eu/tt/ris/

Location

Lessius University College / Campus Sint-Andries
Department of Applied Language Studies
Sint – Andriesstraat 2
B – 2000 Antwerpen
Tel. +32 3 206 04 91